Droit d'ingérence, devoir d'ingérence, devoir et droit d'ingérence, ingérence humanitaire...
...ce sont de concepts humanitaires que l'on peut mélanger, brouiller ensemble, tourner dans tous les sens, ils ont presque toujours été accompagnés d'interventions militaires sanglantes et réduits à de simples termes de mort.
Je ne souhaite pas rentrer ici dans les jeux d'argent et les comptabilités que certains VRP de la "reconstruction" et de la vente d'armements sont en train de, eux aussi, chiffrer et manipuler dans leurs petites têtes.
Ce contre quoi je m'insurge surtout c'est contre les promesses non tenues, les encouragements qui font croire à de populations qu'elles seront soutenues pour à la fin regarder ailleurs pour ne pas voir le bain de sang et attendre que cela se passe. C'est le cas de la Libye.
J'aurais tellement aimé que de centaines de milliers de jeunes en Europe, en Amérique et dans de pays qui se disent organisés en démocratie, se ruent sur les places de villages et de villes suivant l'exemple de ces jeunes et vieux qui se sont manifestés place Tahir et dans les rues tunisiennes. Que ces jeunes, nous les plus vieux serions derrière sinon devant, en tout cas avec eux, sortent de manière pacifique mais ferme pour demander, non, pour exiger un changement du paradigme de ces interventions, mais une intervention rapide et efficace dans ce petit pays qu'est la Libye.
Mais l'histoire, semble-t-il, se répète.
C'est le premier volet d'un série qui compte faire le récit épique de ce que fut la potsguerre espagnole.
C'est la rencontre en France, en 1939, de deux communistes espagnols qui s'engagent dans l'armée de Libération Française, et que dans la clandestinité arrivent à former l'un des groupes les plus discipliné de Résistence.
En 1944, après la libération de Paris à laquelle ils participent en première ligne, convaincus par de promesses qui ne seront pas tenues, et comptant qu'après la libération, les alliés vont leur aider ils organisent et préparent la "Reconquéte" de leur pays...