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SUR UNE RIVE DU NIL.....
21 mars 2011

Et le désir s'accroît quand l'effet se recule

Bonjour à tous !

Ouf ça chauffe "au café d'en face" : les desperados en sueur tentent de trouer des peaux démocrates en multipliant les coups de pétard tous azimuts. Du coup difficile d'intervenir ici ou là sans compromettre les amis qui prendraient des bastos imméritées. Alors "en être" ou pas ? Soyons en de plus en plus, envers et contre tout. Enfin j'dis ça, j'dis rien mais au fond qu'importe le grisé pourvu qu'on ait voix au chapitre... Vous ne trouvez pas ? Et puis le gris, c'est très tendance. Epaulé ici ou là d'un peu de rouge, ça vous fait un décor très chic à peu de frais.

Et puis comme disait le bon Corneille (voir titre) l'éloignement peut avoir des effets... positifs (à condition qu'il ne soit pas trop grand !)

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Commentaires
X
Antoine Perraud nous a fait une démonstration magistrale. Il y a une alternative au "don't feed the troll" qui est de l'empoisonner, notamment avec une nourriture périmée. Malheureusement cela demande une érudition extrême. Quant à moi, je me contenterai de m'en tenir au précepte.<br /> <br /> http://blogs.mediapart.fr/blog/antoine-perraud/220311/1956-le-retour
F
Nous aimons beaucoup ta conclusion Néfer.<br /> <br /> "Sur la toile ça ne sert à rien". <br /> En effet.<br /> Puisque que ça ne t'amuse même plus.<br /> <br /> Mais tu vois bien la foule de questions subsidiaires qu'implicitement cela soulève, fort intéressantes au demeurant, au droit de la diversité incontestable des motivations de chacun.<br /> <br /> La question essentielle reste : comment mettre toujours un peu plus d'humanité partout, malgré tout ?<br /> <br /> A+, bises et bonne journée tout le monde
N
Prendsmoitoute (un peu de mal moi avec ce pseudo ! sourire.)<br /> Est-ce que Perrault est venu lutter à tes côtés ? Il me semble que non. Ni aux miens d'ailleurs, ni aux côtés de Dianne, ou de JN.<br /> Momie échaudée...ben, échaudée. Trois fois je me suis portée aux côtés de journalistes de Médiapart qui se faisaient traîner dans la boue. Dont Perrault d'ailleurs. Résultat : je me suis fait insulter par le ou les fâcheux en services commandés, les bien-pensants (Grain de Sel, Fantie, Marielle Billy et autres moralisateurs) n'ont de cesse répété dès qu'ils le pouvaient que j'étais une fouteuse de merde, quant aux journalistes que j'avais défendus : silence assourdissant de leur part. Comme ça, j'avais tout gagné. <br /> <br /> Sinon, je te trouve plutôt injuste avec Sher'Mum. Quand il faut mouiller la chemise, elle est toujours là. Et elle l'a payé cher. Ce n'est pas parce qu'elle ne se bat pas de la même façon que toi ou moi qu'il faut employer le terme de "lâcheté". C'est même assez déplacé.<br /> On ne peut pas être tous synchro. On n'a pas toujours la niaque en même temps que les copains, ni la disponibilité quand eux le voudraient. Et surtout, on n'a pas tous et toutes la même façon d'apprécier les choses et de régir.<br /> J'ai beaucoup apprécié notre récent trollage chez Esliard parce que je me suis vraiment amusée. Et qu'il le méritait bien, à mon humble avis. Mais je comprendrais très bien que même des gens avec qui je suis très liée n'apprécient pas cette façon de faire et n'aient pas envie d'y participer.<br /> <br /> Je pars aujourd'hui de Médiapart parce que je ne m'y amuse plus, parce que je n'ai plus envie d'y poser de billets, et parce que je n'aurai jamais la sagesse de ne pas claquer la tronche des ignobles. Dans la vraie vie, ça permet parfois de remettre certaines choses à leur place. Sur la toile, ça ne sert à rien.<br /> <br /> Ceci étant, très heureuse de vous lire tous et toutes ici.
P
non pas de colère, juste du dépit,<br /> ni du "comme si", ce que tout le monde ne sait pas faire,<br /> il faut bien admettre que chacun a ses responsabilités,qui vont des excès aux silences lourds,<br /> Dire ce que l'on pense n'est que le reflet d'un ressenti qui ne peut être tu, quels que fussent les développements.<br /> <br /> tout est public ? et alors ? <br /> <br /> quant à notre "voix", si l'on y prend garde, elle peut trouver dans les moments difficiles des chemins de traverse que la solidarité cantonne à l'essentiel. Sauf à la perdre. <br /> <br /> je viens de lire le dernier de Perrault: là se concentrent tous les maux, et je vois que personne ne vient lutter à ses côtés. Bel exemple de taisances, pour un confort provisoire.
D
En tout cas j'ai apprécié, merci Xtal
SUR UNE RIVE DU NIL.....
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